Dans tous mes accompagnements — qu’il s’agisse de coaching, de bilan de compétences ou d'EMDR — je m’engage à vous accueillir dans un cadre sécure, confidentiel et respectueux.

La confidentialité est une valeur fondamentale de ma pratique. Tout ce que vous partagez avec moi reste strictement entre nous. Cet espace protégé est essentiel pour permettre une parole libre, sincère et sans crainte de jugement.

Le respect guide chacune de mes interactions. Je considère chaque personne comme unique, avec son histoire, ses choix, ses forces, ses vulnérabilités. Mon rôle n’est pas de vous dire que faire, mais de vous accompagner à votre rythme, en vous aidant à accéder à vos propres ressources.

La bienveillance est la qualité de présence que je cultive tout au long du processus. Elle ne signifie pas complaisance, mais écoute attentive, accueil inconditionnel et regard constructif, même face à des difficultés ou des blocages.

Je veille à adopter une posture éthique, alignée avec les codes de déontologie de mes professions. Cela inclut la non-ingérence, la neutralité bienveillante, le respect du libre arbitre et l'engagement dans une formation continue pour garantir des accompagnements justes, actuels et adaptés.

Mon éthique, c’est aussi une relation d’alliance : un lien de confiance que nous construisons ensemble, dans le respect mutuel, pour favoriser des transformations durables, authentiques et profondément humaines.

Chaque été, depuis mon enfance, je retrouvais une maison familiale perchée sur le Mont Saint-Clair à Sète : La Roseraie

Nous y allions en famille chaque mois d’août. C’est une baraquette qui a été agrandie au fil du temps, assez rudimentaire, conformément aux valeurs protestantes de ma grand-mère : toilettes à l’extérieur, poêle à mazout, pas de raccordement au tout-à-l'égout…

Le jardin avait été planté par mon beau grand-père, il était très spacieux et on pouvait voir le soleil se coucher sur l’étang de Thau, les arbres éclairés par le phare. Avec mon frère, nous passions les siestes à ramasser, casser des pignons et des amandes dans une chaleur torride.

Nous déjeunions et dînions au pied d’un figuier.

Le figuier est un arbre très résistant, voire résilient. Il se guérit, repousse, se bouture facilement. 

Son fruit est très particulier, pour faire simple, les figues ne sont pas des fruits, mais des fleurs inversées. Les figuiers ne fleurissent pas comme les pommiers ou les poiriers. Leurs fleurs éclosent à l’intérieur du réceptacle en forme de poire qui donnera le fruit que nous mangeons. Une fleur de figuier ne produit qu’un fruit contenant une seule graine et une coquille rigide, l’akène (c’est ce qui lui donne son côté croquant). Chaque figue est constituée de plusieurs akènes. Quand nous mangeons une figue, nous croquons en fait dans plusieurs fruits.

C’est sous cet arbre que se sont ancrés nombre de mes souvenirs sensoriels : son ombre généreuse, son odeur verte et sucrée, et cette façon si particulière qu’ont ses feuilles de découper le ciel — comme une dentelle mouvante au-dessus de nos têtes.

En gemmothérapie, le figuier agit en premier lieu sur le stress, l’anxiété et la dépression et par conséquent sur les troubles qui lui sont associés : problèmes de sommeil et de digestion, en particulier au niveau de l’estomac. Il calme et apaise les personnes stressées, facilite l’endormissement et diminue les réveils nocturnes.