Un traumatisme psychique ne laisse pas toujours de blessures visibles

Pourtant, ses effets peuvent marquer profondément notre corps, nos émotions, notre mémoire, et même notre façon de nous percevoir et de voir le monde.

Il peut s’agir de diverses expériences : des violences (physiques, sexuelles, psychologiques), un accident, un deuil brutal, un abandon, du harcèlement, un climat familial insécurisant, un viol ou un inceste…

Que l'événement soit survenu une seule fois ou de manière répétée, ce qui compte le plus, c'est l'impact qu'il a eu sur votre système nerveux et sur votre sentiment de sécurité intérieure.

🌪️ Je suis toujours sur le qui-vive, est-ce normal ?

Il s’agit peut-être d’hypervigilance. 

• Vous sursautez au moindre bruit, vous avez une sensation de danger permanent.

• Vous vous sentez irritable, anxieux/se, avec une fatigue nerveuse persistante.

• Il est difficile de vous détendre ou de faire confiance aux autres.

⚠️ Je ne réagis pas face au danger, est-ce grave ?

Ce phénomène s’appelle hypovigilance.

• Après certains traumatismes, il arrive que la personne ne ressente plus le danger, ou ne réagisse plus de manière adaptée face à une situation menaçante.

• C’est ce que l'on appelle l'hypovigilance :

• Elle peut se traduire par une apparente indifférence au risque, une lenteur à réagir, ou un comportement passif dans des contextes abusifs.

• C'est une forme de protection extrême : lorsque fuir ou se défendre n'a pas été possible, le corps a appris à se couper du danger… quitte à ne plus pouvoir se protéger efficacement par la suite.

☀️Et si c’était le bon moment pour demander de l’aide ? 

Si vous vous reconnaissez dans ces signes, je vous invite à me contacter. Formée à l'accompagnement des psychotraumatismes, je peux vous soutenir dans votre parcours ou, si besoin, vous orienter vers d'autres professionnels de confiance pour avancer sur le chemin de la guérison.